C’est probablement là que s’est située la pire mortalité de protestants en Bretagne sous l’Ancien Régime. Alors que les massacres y ont été somme toute limités pendant les Guerres de Religion, c’est quelques années après la signature de l’Édit de Nantes que s’abat la plus forte répression contre des Réformés enfermés pour « sédition ».
A lire dans « Histoire », puis « Études », puis « Les prisonniers du Sanitat de Nantes »